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Zed semble réticent à accepter ta stratégie mais il finit par te suivre vers la deuxième porte.

Répétant le même protocole pour l'ouverture du sas, Zed se place en couverture pendant que toi sur le côté droit de la porte, tu actionne le bouton d'ouverture.

Par contre cette fois ci, le sas reste fermé. Tu réessayes une autre fois mais rien n'y fais elle ne veut pas s'ouvrir.

Zed te regarde pour s'avoir quoi faire.

-"Bon" fit basher " on se rabat sur le couloir"

Les deux hommes s'avancèrent en direction du couloir resté ouvert, et autant précautionneusement que silencieusement, ils se dirigèrent vers les profondeurs du "vaisseau" qui les avait happé.

Vous longez ce nouveau couloir sur 10 mètres pour retomber sur une nouvelle porte.

Tout le temps de la traverser vous étiez aux aguêts mais rien n'ai apparut.

Basher procéda de la même manière qu'avec la porte précédente. Zed se tenait en joue, et lui activait l'ouverture de la porte. Cepedant, il prit la précaution de toucher la porte, afin de ne pas avoir une surprise avec un vide spatial glacial ou encore, une zone de "feu"...

La porte avait un contact froid de métal, rien d'alarmant.

Estimant que le danger n'était pas important, tu actionnes le sas.

Zed se tient près à toutes éventualités.

La porte du sas vous révèle, une structure collosale. Une longue passerelle rejoint à environ 15 mètre une plateforme. Tout est de forme organique et mécanique.

Pas de danger danbs l'immédiat, pas de patrouille. La sensation que ce vaisseau est mort se fait de plus en plus clair dans ton esprit.

-"Cet endroit me fiche la chair de poule" murmura Basher.

Mu par un instinct de survie, il se saisit de sa dague, et commença à avancer doucement sur la plate forme. Les formes organiques le mettaient franchement mal à l'aise, lui donnant l'impression de s'enfoncer à l'interieur d'un organisme plus ou moins cancereux, ou dans le meilleur des cas, dans la carcasse pourrie d'un Banta.

Basher essaya d'assurer ses pas, n'étant pas sur de la stabilité de la passerelle. Quoiqu'il en soit, les deux hommes n'avaient pas autre choix que de s'enfoncer davantage, et gagner cette passerelle pourrait peut-être leur donner, à défaut de nouvelles informations, une certaine "vue d'ensemble de la colossale architecture du "vaisseau"

La sueur reluisait sur le visage de Basher, qui, démuni de tout arme à distance, se sentait d'une grande vulnérabilité...dans une pensée fugasse il se surprt à murmurer "comment se fait-il que cette petite pute connaisse mon nom..."